Salle de bain sans joint : revêtement mural sans carrelage
Les surfaces dénuées de tout joint font de la plus petite des salles de bain une grande pièce. Les grands panneaux muraux en PLEXIGLAS® permettent de rénover simplement et rapidement les salles de bain.
Une pièce de petite dimension, des petits carreaux ou des couleurs qui sont passés de mode : pour transformer les salles d'eaux désuètes en alcôves de bien-être, les professionnels optent le plus souvent pour de grandes surfaces, si possible sans joint - car les salles de bain sans joint ont bien des avantages.
Les atouts d'une salle de bain sans joint
Les grands panneaux muraux comme ceux de la douche agrandissent les pièces. Les surfaces dénuées de joint créent un espace de détente qui font des salles de bain un espace de bien-être. À contrario, les petits carrelages requièrent de nombreux joints qui, retenant la saleté comme le calcaire -voire les moisissures-, tendent à s’estomper ou s’abîmer bien plus rapidement que les surfaces lisses.
Rénover une salle de bain sans carrelage
En matière de rénovation, comme pour les nouvelles constructions, les salles de bain sans joint apparent ou presque sont à la mode. Les revêtements muraux ou de cabine de douche auxquels les professionnels recourent volontiers sont en PLEXIGLAS® Hi-Gloss et en PLEXIGLAS® Optical résistant aux marques d’usure (HC) . Ils remplacent avantageusement les carrelages de grande taille, pierres grattées, enduits, béton ciré ou résine de synthèse traditionnels. La dimension des carrelages est d’autant plus limitées qu’ils pèsent lourd. Le verre acrylique de marque d’Röhm a l’avantage de proposer des éléments sans joints allant jusqu’à deux fois trois mètres de long.
D'une seule pièce : la décoration murale des salles de bain
En matière de design, les panneaux muraux en PLEXIGLAS® l’emportent sur la diversité des carrelages : non seulement la gamme PLEXIGLAS® Hi-Gloss se décline dans de nombreuses teintes, mais elle est également personnalisable à volonté. Que ce soient des pierres de taille, du bois naturel ou toute autre photographie de votre choix, la face arrière du PLEXIGLAS® Optical HC peut être imprimée avec les motifs de votre choix. « Tous nos modèles créent de la profondeur tout en générant des surfaces ultra-brillantes », dit Denise Gündling, responsable produit pour ces deux familles de produit. « C’est la raison pour laquelle nos matériaux sont, par exemple, souvent utilisés pour réaliser les revêtements des cuisines. » Avec le PLEXIGLAS® Hi-Gloss, cet effet est dû à la double couche du revêtement : une couche colorée de verre acrylique sur laquelle on accole une couche transparente ultra-brillante. « Cette combinaison permet de démultiplier la brillance des teintes », explique Denise Gundling.
Aussi résistant que simple d'entretien
"Le PLEXIGLAS® Hi-Gloss et le PLEXIGLAS® Optical HC ont pour particularité commune de donner de la profondeur. Cet effet démultiplie la brillance des teintes."
- Denise Gündling
Responsable produit pour le PLEXIGLAS® Hi-Gloss et le PLEXIGLAS® Optical HC
Pour que le design perdure, le PLEXIGLAS® Optical HC, résistant aux marques d’usure, se décline aussi avec le PLEXIGLAS® Hi-Gloss et son revêtement insensible aux rayures. Sa surface lisse résiste à la plupart des produits chimiques, est simple d’entretien et supporte parfaitement les changements de températures ou l’humidité.
Rénover une salle de bain sans bruit ni saleté
Les revêtements muraux comme les murs de douche en verre acrylique sont bien plus simple et rapide à réaliser que la pose des carrelages. Que ce soit par des professionnels ou des particuliers, ils peuvent être directement collés sur l’ancien carrelage ou bien fixés avec un système de profilés. « Retirer l’ancien carrelage devient ainsi superflu – ce qui réduit d’autant le bruit et la saleté des travaux de rénovation », ajoute Denise Gündling. « Le PLEXIGLAS® est très simple à travailler, on peut même le couper et le percer sur place. » En un clin d’œil, ou presque, l’ancienne salle de bain devient un espace de bien-être des plus modernes.
